jueves, 30 de noviembre de 2017

Article: "Diana Krall breathes new life into nuggets from the past"



The Hamilton Spectator : Diana Krall breathes new life into nuggets from the past.
"Krall is a great improvisational artist, a skilled arranger, a creative interpreter and a consummate band leader, able to draw a quartet of crack musicians who can take well-worn tunes into places they've never been before."
It would be easy to say Diana Krall has retreated into a safe comfort zone with her new album “Turn up the Quiet,” playing the all-too-easy standards of the great…
THESPEC.COM




Fuente: www.thespec.com


martes, 28 de noviembre de 2017

Article: "Diana Krall: le plaisir d'abord" (www.lapresse.ca)


Publié le 21 novembre 2017 à 09h16 | Mis à jour le 21 novembre 2017 à 09h16
Diana Krall: le plaisir d'abord



La chanteuse Diana Krall donne un concert ce soir au Grand Théâtre de Québec. Elle sera à la salle Wilfrid-Pelletier de Montréal les 29 et 30 novembre.
PHOTO JESSE DITTMAN, ARCHIVES THE NEW YORK TIMES


Le 7 octobre dernier, Diana Krall n'était vraiment pas en forme. Ce jour-là, elle a dû s'absenter de la balance de son à l'Olympia de Paris. Elle est néanmoins montée sur scène à l'heure prévue, même si, par la suite, elle a dû annuler deux concerts en Italie.

La chanteuse et pianiste de jazz canadienne raconte cette histoire au téléphone sur un ton sérieux qui n'exclut pas quelques éclats de rire. Elle se porte beaucoup mieux, merci, et la balade qu'elle vient de faire le matin même pour humer l'air salin du Pacifique l'a énergisée. N'empêche, ce soir-là à l'Olympia, elle a vécu un moment qui l'a marquée.

«Quand je suis arrivée sur scène, je ne savais même pas si je pourrais chanter, se souvient-elle. J'étais frustrée, mais j'ai jeté un coup d'oeil par-dessus mon épaule, j'ai vu les musiciens qui me souriaient et, subitement, j'ai ressenti une énergie extraordinaire.»

Pendant une vingtaine de minutes, Diana Krall parle de choses et d'autres, de l'euphorie dans laquelle baignait son mari Elvis Costello qui ne cessait de lui envoyer des textos ébahis pendant le récent concert en hommage à Leonard Cohen au Centre Bell, ou encore de l'admiration sans bornes qu'elle éprouve pour sa compatriote Joni Mitchell.

Mais un sujet revient constamment dans la conversation: le bonheur qu'elle a de vraiment faire équipe avec les quatre musiciens qui l'accompagnent dans la tournée Turn Up the Quiet qui s'arrête ce soir au Grand Théâtre de Québec, puis à la salle Wilfrid-Pelletier les 29 et 30 novembre.

«C'est le meilleur groupe que j'ai eu et ça arrive au bon moment, je pense. Je ne me considère plus simplement comme une étudiante - même si je suis une éternelle étudiante - en raison de l'expérience que nous avons en commun. Stuart Duncan vient de l'univers du bluegrass, et Anthony Wilson, Karriem Riggins et Robert Hurst ont tous des disques, des projets et des styles différents. On n'a jamais donné un concert au cours duquel on ne s'est pas amusés.»

Un son unique

Cette symbiose permet à l'artiste, qui a eu 53 ans la semaine dernière, une plus grande latitude dans la conception et l'exécution de ses concerts.

«Je joue des chansons de Turn Up the Quiet [son plus récent album], bien sûr, mais je veux monter sur scène comme l'ont fait les artistes inspirants que j'admirais et qui touchaient à tout, comme Nat Cole et Shirley Horn. Je vais chanter I'll String Along With You [le standard de son album When I Look In Your Eyes, paru en 1999], une chanson de Joni Mitchell ou une chanson de Bob Dylan que nous n'avons pas enregistrée. Je joue avec mes pairs, nous avons tous à peu près le même âge et nous avons tous joué avec les grands artistes qui ont créé cette musique. Nous comprenons clairement cette histoire que nous saluons, mais nous sommes rendus à un point où, dans ce cadre, nous avons un son unique.»

«Nous n'essayons plus vraiment de prouver quoi que ce soit. L'important, c'est de jouer et d'avoir du plaisir.»

C'est un peu ce que disait plus tôt cette année le batteur Jeff Hamilton au New York Times à propos de l'assurance qu'a acquise Diana Krall. Et c'est aussi ce que confiait à la chanteuse et pianiste le regretté réalisateur Tommy LiPuma, qui ne l'avait jamais trouvée aussi confiante et authentique que lors des enregistrements de Turn Up the Quiet, un disque-étalon dans l'évolution de l'artiste et de la femme, ajoutait-il.

Faire parler la musique

Diana Krall parle de «paix intérieure» et ajoute aussitôt qu'elle a beaucoup de difficulté à parler de ce qu'elle fait: «Nous sommes des artistes parce que nous avons choisi de nous exprimer à travers le chant, la musique et l'écriture de chansons.»

Justement, même si l'adaptation de standards est une forme de création, d'aucuns parmi ses admirateurs se demandent pourquoi Diana Krall n'a plus enregistré de ses propres compositions après l'excellent album The Girl in the Other Room, paru en 2004.

«Eh bien... j'ai beaucoup écouté Joni Mitchell, et ça rend l'exercice difficile, répond-elle en pouffant de rire. Chaque fois que je songe à refaire ça, l'idée fout le camp aussitôt. Je ne suis pas une parolière [Elvis Costello avait collaboré avec elle sur The Girl in the Other Room], mais je suis capable de composer de la musique. Récemment, on a joué Abandoned Masquerade en répétition et Robert, Karriem et Anthony m'ont dit: "On joue Departure Bay en concert, mais est-ce qu'on pourrait jouer celle-là aussi, s'il te plaît?" J'en suis vraiment très fière et je déborde d'amour pour ces gars-là qui sont fantastiques sur le plan artistique et sur le plan humain. Les temps sont difficiles et il y a beaucoup à dire, mais nous croyons que notre musique en dit beaucoup, même quand il n'y a pas de mots.»

Fuente: www.lapresse.ca



miércoles, 22 de noviembre de 2017

Photos: Concert DIANA KRALL - Grand Théâtre de Québec (21.11.2017)


DIANA KRALL
Concert:  Grand Théâtre de Québec
21.11.2017

Photos: © Jean-François Grave






















martes, 21 de noviembre de 2017

Vids: "Diana Krall - Fly Me To The Moon"









Photos: "Diana Krall, Paris Match France, May 9, 2017"










Diana Krall, Paris Match France, May 9, 2017

PARIS, FRANCE - MAY 09: Musician and singer Diana Krall is photographed for Paris Match on May 9, 2017 in Paris, France. (Photo by Patrick Fouque/Paris Match/Contour by Getty Images)


viernes, 3 de noviembre de 2017

Article: "Brock prof’s art featured on Diana Krall tour"


Brock prof’s art featured on Diana Krall tour

THURSDAY, NOVEMBER 02, 2017 | by Maryanne Firth



The artwort of Brock Fine Arts Assistant Professor Amy Friend is being featured on the international tour of renowned Canadian musician Diana Krall.


When the e-mail popped into Amy Friend’s inbox, she was certain it couldn’t be real.

But a feeling inside prompted the Brock Fine Arts assistant professor to respond to the inquiry, which asked about her artwork and whether she’d consider collaborating with renowned Canadian musician Diana Krall.

It was soon after that Friend found herself on the phone with the Grammy Award winner discussing possibilities for her upcoming tour.

Friend’s experimental photography has since helped Krall to set the scene on stage, acting as her backdrop as she captivates crowds in venues across North America and Europe.


Brock University Fine Arts Assistant Professor Amy Friend.

Friend’s work has been featured on the jazz singer’s international tour since June and the partnership is expected to continue through to the summer.

The project, which includes art pieces from three different bodies of work, has been “particularly fulfilling,” Friend said.

She has enjoyed the challenge of working with Krall to find pieces that fit the mood and message of individual songs, while also complementing the title of the tour and Krall’s most recent album, Turn Up the Quiet.

“It’s about trying to respect your own work, while also seeing how you can accommodate a vision that will fit within the repertoire they’re working with,” she said.

Friend is currently working to select new pieces for Krall’s Canadian tour dates, including a Nov. 24 show at Massey Hall in Toronto that she plans to attend.

“I’m looking forward to seeing her perform and to seeing my work filling the stage in a concert hall where I have heard musicians like Johnny Cash, Tom Waits and Nick Cave perform,” she said.

Krall’s latest repertoire will include a cover of Bob Dylan’s Simple Twist of Fate, which Friend is particularly excited to find a piece to accompany.

“Much of my work revolves around ideas of memory, impermanence, history and time,” said Friend, who has worked at Brock for the past decade. “I am less concerned with capturing a ‘concrete’ reality. Instead, I aim to use photography as a medium that offers the possibility of exploring the relationship between what is visible and non-visible.”

Work featured on the tour includes hand-manipulated photographs, pieces featuring floating handkerchiefs once belonging to Friend’s grandparents, and artwork inspired by snippets of film from her childhood.

Over the past few months, Friend and Krall have shared many inspiring conversations about family, creativity and women in the arts.

“She has been so great to work with, you could almost forget her status in the music world,” Friend said.

Krall often emphasized the need to respect Friend’s work and always checks in with the artist to ensure she’s pleased with the end results of each tour stop.

Friend called it “refreshing” to be able to engage with other artists.

“It exposes you to experiences that have commonalities and, at times, interesting variances,” she said. “It’s also wonderful to see how my work found a place to exist far beyond my initial intentions.”

The team responsible for the on-stage initiative also included Judy Jacob, a video and visual content director, and Paul Normandale, a lighting designer, who Friend said “took the project to the next level.”

In addition to her work with the tour, Friend has been busy over the past year with international exhibitions in Spain, Korea, Poland, Portugal and France. She has shows coming up in Boston and Italy and plans to release a new book in the near future.



The artwork of Brock Fine Arts Assistant Professor Amy Friend is being featured on the international tour of renowned Canadian musician Diana Krall.



Fuente: brocku.ca